Chez Volaïe & Cochonouille nous avons à cœur de prendre celui des animaux pour vous le servir.
Vous le savez et nous le savons : derrière chacun de vos cris de joie à la vue de vos plats, se cache un hurlement sinistre.
Alors soyons francs et assumons-le avec fierté ! C’est pourquoi nous faisons le pari de rendre la souffrance de nos produits visible.
Avec l’émergence des alternatives végétales, il est de plus en plus simple d’adopter un régime végétalien : les raisons de consommer des produits d’origine animale s’amenuisent. Et pourtant, vous êtes là.
Nous comprenons donc que si épargner des souffrances aux animaux n’est pas un enjeu, c'est que cette souffrance est importante pour vous. Pourquoi continuer de manger des animaux qui souffrent alors qu’on peut faire autrement, si ce n’est pour conserver ces souffrances ?
Elle devient donc notre principale valeur. Nous revendiquons avec ferveur nos méthodes d’élevage et d’abattage. Celles-ci sont les meilleures dans le domaine. C’est à dire les pires pour les animaux.
Exploiter les animaux dans des conditions abominables, c’est plutôt facile. Mais si l’art demande du savoir-faire, la virtuosité réclame du génie. Nos années d’observation des élevages, des prisons et des morgues nous a permis de pousser la zootechnie encore plus loin.
Grâce aux nombreux travaux sur la sentience des animaux élevés, nous savons désormais comment augmenter leurs souffrances et vous garantir ce que vous désirez le plus : du stress, de la douleur et une mort violente dans vos assiettes.
Plus besoin de faire un choix ! Une délicieuse saucisse de porcelet moulée autour d’une cuisse de poulet et panée à la graisse d’oie. Un délice, et rassemblant le pire des 2 élevages : un membre luxé suite à la croissance rapide d’un poulet se traînant pendant les 21 jours de son existence dans les excréments de ses congénères, et une chair à saucisse issue de jeunes porcs entassés (nous mesurons la qualité de la surpopulation à l’intensité du cannibalisme !).
Ce coq a perdu son combat, éventré par les ergots de son adversaires, mais il s’est battu vaillamment, dans le stress et la douleur !
Ludique : reproduisez le combat dans votre assiette en commandant aussi un coq vainqueur !
Vrais hommes mangent de la viande de vainqueurs ! Toutes nos félicitations à ce coq qui a saigné son adversaire avec bravoure! Heureusement, sa mise à mort de nos mains a été aussi douloureuse que possible :). En bref, le meilleur de ce que le patriarcat a à offrir.
Suivant la tradition ancestrale des rat rods, nous ne chaponnons qu’avec des crochets rouillés et faiblement tranchants. Douleur exquise, goût exquis ! Amenez un peu des États-Unis dans votre plats !
250 poules dans 10m² de piscine chauffée : la viande devient légèrement acide, signe d'un stress au moment de la mort. Faites la mariner pour rester dans le thème !
Un coup de machette (ou deux, oopsy) et le canard sans tête part en courant ! C'est pas très propre mais ça garantit un stress maximal, surtout aux congénères qui attendent leur tour à côté.